Je ne suis pas d’un naturel à me stresser. J’ai eu une période de questionnement vis à vis des infos intox et de ce que j’en fais.
Le corona qui n’est pas mon ami m’a permis de vivre autrement. Autrement et de manière plus lente. Plus lente et plus sûre.
Je travaille en milieu hospitalier et j’ai été considéré comme personne à risque. Au delà de ma considération j’ai dû accepter cet état de fait. J’ai pu continuer à travailler avec des consignes strictes que je me suis appliquées.
Dans les premiers jours je me suis pris la température pour me rassurer. J’ai du faire feu des infos intox qui au final a part grossir les infos qu’ y avait il de sur? Garder la distance, se protéger en espérant que l’autre se protège. Éviter les déplacements non essentiels et se baser sur le bon sens.
De nature assez imagée et surréaliste j’ai trouvé des scénari différents.
En cette période particulière le suivi avec ma diabétologue est différent. J’ai eu un rv reporté. Pour le matériel j’ai changé de transmetteur et obtenu du matériel pour ne pas y retourner dans un mois. Ma question était l’apport en insuline question ô combien existentielle. Imaginez vous demain sans apport d oxygène. C’est vital, l insuline aussi. Et cela fait l’objet de débat, en fonction des endroits.
Alors pourquoi ce post? Il faut savoir que pour un être lambda, compenser est vite devenu une routine. C’est quoi ce mot? Ben grignoter, manger plus. Apéros, pas de soucis si géré. Le souci vient après.
La balance entre ce qui doit être et ce qui est. Alors sport ou pas? Honnêtement je bouge oui mais pas de manière régulière comme un sportif régulier. Et c’est une donnée qui a son importance.
J’ai découvert dernièrement le yoga via application.
Se donner du temps et s’y tenir. Bouger et se faire du bien.
Prenez soin de vous, vous êtes la clé.
Pascal